TOUT SUR LE ZIZI ....
Pourquoi votre femme n’a plus envie ?
Voir libido femmes :
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Pour une sexualité plus épanouie
De nombreuses substances extraites de plantes, tels la maca, le catuaba, l’avoine, le dong quai, le damiana, le yohimbe, le tongkat ali… dont la connaissance est fréquemment issue d’un usage traditionnel séculaire souvent confirmé par la recherche scientifique contemporaine, peuvent stimuler la libido des hommes comme celle des femmes et les aider à partager une sexualité naturellement plus épanouie.
Ménopause et sexualité
Quarante-trois pour cent des femmes souffriraient de troubles de la sexualité : absence de fantasmes, de désir ou de réceptivité sexuelle, difficultés à atteindre l’orgasme, rapports douloureux…
Une sorte d’équivalent de l’impuissance sexuelle masculine, qui se manifeste particulièrement autour de la ménopause, associée à un ralentissement de l’activité ovarienne et à une diminution des taux d’hormones sexuelles (œstrogènes, progestérone et testostérone).
Cette baisse des taux d’hormones sexuelles, en particulier ceux de la testostérone, peut avoir une incidence sérieuse sur le désir sexuel éprouvé par une femme.
La déficience en œstrogènes qui apparaît après la ménopause provoque une atrophie urogénitale, conduisant à une diminution de la lubrification vaginale ainsi qu’à des altérations physiques susceptibles d’affecter le fonctionnement sexuel.
Cela peut se traduire par un déclin de l’intérêt sexuel, mais la capacité à devenir sexuellement excitée peut également être perturbée.
Sans testostérone, les femmes n’ont plus de désir sexuel
Tout comme les hommes fabriquent de petites quantités d’œstrogènes, les femmes, elles, produisent de la testostérone avec leurs ovaires et leurs glandes surrénales.
Chez l’homme, la testostérone stimule l’énergie et la libido, maintient la masse musculaire, renforce les os et, chez les femmes, assure la sensibilité au plaisir sexuel.
Avec les années, l’organisme des femmes produit moins de testostérone. Vers quarante ans, une femme produit environ la moitié de la testostérone qu’elle produisait à vingt ans.
Avec la ménopause ou une ablation des ovaires, ces niveaux chutent encore plus.
Des études ont montré que la diminution d’énergie, de désir sexuel que les femmes connaissent après la ménopause est directement liée à une baisse des niveaux de testostérone.
Chez l’homme, le monoxyde d’azote est un médiateur indispensable
La stimulation sexuelle fait réagir l’organisme qui libère toute une cascade de substances chimiques orientant le flux sanguin dans les organes génitaux.
Chez la femme, cela conduit à la lubrification et à la congestion des organes lorsque l’organisme se prépare au rapport sexuel.
Chez l’homme, cet afflux sanguin est dirigé vers une paire de poches appelées corps caverneux, à l’intérieur du pénis.
Cet afflux sanguin est indispensable au gonflement et au durcissement du pénis.
La stimulation sexuelle provoque la libération du monoxyde d’azote (NO), qui est un des principaux médiateurs à l’origine d’une érection.
Cette libération est localisée et commence à partir des cellules endothéliales des corps caverneux et des neurones non adrénergiques et non cholinergiques.
Le monoxyde d’azote active la guanylate cyclase, avec pour conséquence une transformation de la guanosine triphosphate en guanosine monophosphate cyclique (GMPc).
L’accumulation de GMPc provoque entre autres une relaxation des muscles lisses des artères dans le pénis et du tissu dans les corps caverneux ainsi que l’engorgement du pénis et, à terme, l’érection.
Une molécule d’oxyde nitrique est produite lorsqu’une enzyme, la NO synthase ou NOS, abondante dans les cellules, arrache un atome d’azote d’une molécule de L-arginine pour le combiner à un atome d’oxygène.
Les molécules de NO ayant une très courte durée de vie leur demi-vie se mesure en secondes, leur site d’action doit être très proche de celui où elles sont générées.
L’oxyde nitrique formé dans les cellules artérielles endothéliales passe directement et immédiatement dans les cellules musculaires lisses adjacentes.
Chez la femme aussi, le monoxyde d’azote a un rôle important
Un corps caverneux est une boule spongieuse de tout petits nerfs entourés de vaisseaux sanguins que l’on trouve dans le pénis de l’homme mais également dans le clitoris de la femme.
Il devient actif lorsque, pendant les périodes d’excitation sexuelle, il est engorgé de sang.
Chez l’homme, l’obtention d’une érection et de sensations optimales, et chez la femme, le plaisir sexuel et l’atteinte de l’orgasme dépendent du bon fonctionnement du corps caverneux.
Dans l’un comme l’autre cas, le monoxyde d’azote et son métabolite, le GMPc, jouent un rôle déterminant.
Un flux sanguin insuffisant peut être responsable chez l’homme de problèmes d’érection et chez la femme d’une réponse sexuelle perturbée qui peut se traduire par une incapacité à atteindre l’orgasme, des orgasmes retardés ou une sécheresse vaginale.
Or, avec le passage des années, les niveaux d’oxyde nitrique déclinent rapidement et pourraient avoir besoin d’être « boostés » par une supplémentation.
L’arginine, un précurseur du monoxyde d’azote
L’arginine est un précurseur du monoxyde d’azote (NO) auquel on attribue une responsabilité majeure dans la production de l’érection.
Une formation ou une action perturbée de l’oxyde nitrique étant l’une des principales causes de dysfonctionnement érectile, il est normal de penser qu’une supplémentation en arginine ait un effet bénéfique stimulant la libido, produisant plus de sensation et augmentant leur intensité, chez les femmes comme chez les hommes.
Une supplémentation en arginine favorise la production naturelle de monoxyde d’azote dans l’organisme.
Tout comme le Viagra, l’arginine agit en « boostant » les niveaux de GMP cyclique.
Plus les niveaux de GMPc sont maintenus, plus il y a de chance d’obtenir et de conserver une érection.
Chez des sujets hypertendus parce que leurs cellules artérielles endothéliales sont endommagées et ne peuvent plus produire d’oxyde nitrique, une intraveineuse avec de l’arginine fait chuter leur pression sanguine.
Pour sa capacité à détendre les cellules des muscles lisses, l’arginine est reconnue comme le principal, si ce n’est le seul, produit neurochimique responsable des érections.
À l’inverse, en interrompant la synthèse du monoxyde d’azote par un produit chimique interférant avec l’activité de la NOS, il est possible de totalement prévenir les érections.
Quinze hommes impuissants prennent dans un premier temps pendant quinze jours un placebo sans ressentir aucune amélioration.
Ensuite, à leur insu, on leur a donné 2,8 g d’arginine pendant deux semaines.
Six des quinze sujets ont alors fait état d’une amélioration de leurs érections alors qu’ils prenaient de l’arginine.
Ils ont aussi constaté une augmentation de leur libido et de leur virilité.
Leur âge moyen était inférieur de 18 ans à celui des sujets ne répondant pas au traitement.
Les chercheurs se sont demandés si la réponse dépendante de l’âge signifiait un déficit en arginine.
Plus les artères étaient endommagées par la plaque d’athérome, moins de NO était formé et libéré.
L’arginine est également bénéfique chez les femmes
Le monoxyde d’azote produit à partir d’une supplémentation en arginine améliore la circulation vaginale et stimule les nerfs périvasculaires de la région génitale impliqués dans l’excitation sexuelle.
La supplémentation en arginine est donc également recommandée chez la femme pour sa capacité à stimuler la synthèse du monoxyde d’azote.
Suite :
http://eleves-robert-masson.naturalforum.net/t333-super-testosterone