CANCERS, TOUT UN PROGRAMME !!!
ESSIAC, toujours d’actualité, traitement du cancer en 1920
L’Essiac est une préparation à base de plantes qui possède, dans les milieux non médicaux, la réputation de soigner le cancer.
Elle a été popularisée par une infirmière canadienne, Mme Rene Caisse (Essiac vient du nom Caisse épelé à l’envers), qui, durant la première moitié du XXe siècle, s’en est servie pour traiter des milliers de personnes atteintes de cancer.
La formule de l’Essiac aurait été mise au point par un guérisseur amérindien.
Elle est faite à partir de 4 plantes principales :
la racine de bardane,
les feuilles de la petite oseille,
l’écorce interne de l’orme rouge et
la racine de rhubarbe.
Précautions
Prudence
■Comme la racine de bardane pourrait faire baisser la glycémie, les personnes diabétiques doivent surveiller celle-ci plus attentivement.
Contre-indications
■Le produit n’est pas recommandé aux femmes enceintes, à celles qui allaitent et aux enfants.
Effets indésirables
■Occasionnellement, le produit peut provoquer de la nausée, des vomissements, de la diarrhée et divers troubles gastro-intestinaux.
Interactions
Avec des plantes ou des suppléments
■Les effets de la formule Essiac pourraient s’ajouter à ceux des plantes ou des suppléments dont l’action est laxative ou diurétique.
Avec des médicaments
■Les effets de la formule Essiac pourraient s’ajouter à ceux des laxatifs et diurétiques de synthèse.
■Théoriquement, à hautes doses, les propriétés laxatives et diurétiques des plantes de la formule Essiac pourraient causer une carence en potassium, ce qui peut être dangereux pour les personnes qui prennent de la digoxine ou de la digitoxine pour traiter des troubles cardiaques.
http://www.essiacproducts.com/fr/?gclid=CLnY_Zq2vbUCFUbKtAodaxQALg
il convient de toujours poursuivre le traitement médical en cours.
L'histoire ESSIAC
Les produits ESSIAC® sont fabriqués à partir d’une formule à base de plantes en usage depuis 1922.
L’infirmière Rene Caisse a utilisé cette formule pour venir en aide aux gens atteints d’une maladie grave après qu’un Amérindien ojibwé du Canada lui ait donné la formule.
Originaire de Bracebridge (Ontario), madame Caisse a mis au point sa propre formule à base d’herbes pour en faire une boisson qu’elle a nommée Essiac, qui est en fait son nom écrit à l’envers.
Malgré le manque de preuve scientifique, elle affirmait que sa formule aidait ses patients.
De 1922 à 1978, madame Caisse a aidé des milliers de personnes grâce au supplément alimentaire à base d’herbes Essiac, à sa clinique canadienne de Bracebridge (Ontario).
Elle refusait de se faire payer pour ses services; mais acceptait, cependant, les dons pour aider à soutenir sa clinique.
Madame Caisse a consacré sa vie à aider des malades avec sa formule Essiac.
En 1977, l’infirmière Rene Caisse a cédé tous les droits de sa formule originale Essiac à la société Resperin Corporation Limited.
Dr Charles Brusch de Cambridge, au Massachusetts, a été témoin de la signature de l’entente entre Rene Caisse et Resperin, laquelle attestait que sa formule originale à base d’herbes n’avait jamais été révélée à personne d’autre que Resperin.
Resperin a offert à madame Caisse l’assurance qu’elle recherchait, notamment que la formule Essiac soit produite et distribuée au bénéfice de chacun.
Le 29 mai 1995, Resperin a transféré les droits ESSIAC® et la société a été dissoute volontairement.
Essiac Products inc. possédait et fabriquait la formule à base d’herbes ESSIAC®, laquelle était distribuée par l’entremise de Essiac Canada International.
Aujourd’hui, Essiac Canada International détient les droits de la formule ESSIAC® et se charge de l’exporter dans le monde entier.
Rene Caisse est toujours aimée et on se souvient d’elle pour sa contribution à la naturopathie.
Des sculptures de bronze à son effigie ont été réalisées à sa mémoire à Bracebridge et au Canadian College of naturopathic Medicine de Toronto.
Les produits ESSIAC® ont résisté à l’épreuve du temps.
On trouvera des renseignements supplémentaires sur l’histoire ESSIAC® et sur l’infirmière Rene Caisse dans le livre Bridge of Hope.
il convient de toujours poursuivre le traitement médical en cours.
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